<b>Limiter la visibilité du parc solaire à travers la plantation de haies</b>

Limiter la visibilité du parc solaire à travers la plantation de haies

Le projet de Bessens Energies ne sera pas visible depuis les habitations grâce la plantation de haies.

> Visibilité AVANT la plantation de haies (image d’illustration non contractuelle)

>Visibilité APRES plantation de haies (image d’illustration non contractuelle)

Limiter les perspectives sur les parcs existants :

Par ailleurs, nous pouvons nous engager auprès des riverains qui le souhaitent de participer à la plantation de haies pour limiter la visibilité sur les parcs déjà existants et qui n’appartiennent par à VALOREM.

<b>Les énergies vertes en faveur de l’emploi local</b>

Les énergies vertes en faveur de l’emploi local

Depuis 2017, VALOREM intègre des clauses d’insertion sur ses chantiers solaires, donnant la possibilité à des personnes éloignées de l’emploi de retrouver le chemin du travail. Ainsi le groupe s’engage à réserver au minimum 7% des heures de travail aux publics éligibles :

  • Des personnes qui ont connu une rupture d’activité dans leur parcours professionnel : motivées pour retrouver un emploi, aptes à travailler
  • Des personnes la plupart du temps peu qualifiées et rencontrant des difficultés de mobilité domicile-travail :
    • Les demandeurs d’emploi de longue durée ;
    • Les jeunes de 16-25 ans diplômés ou non sortis du système scolaire et en recherche d’emploi depuis au moins 6 mois ;
    • Les demandeurs d’emploi, allocataires du RSA et des minimas sociaux ;
    • Les personnes reconnues Travailleurs Handicapés ;
    • Les personnes relevant d’un dispositif de l’IAE et des écoles de la seconde chance ;
    • Les personnes rencontrant des difficultés particulières d’insertion (Quartier prioritaire de la ville, demandeurs du droit d’asile, repris de justice, séniors…).

Imposée aux sous-traitants, cette clause d’insertion a montré son efficacité pour la lutte contre l’exclusion et le retour à l’emploi. Depuis le lancement de ce dispositif, près de 133 personnes ont travaillé sur les chantiers du Groupe, pour + de 31 000 heures réalisées !


Les lots des chantiers de construction concernés sont : la construction des Voiries et Réseaux Divers (VRD), la construction de la base vie, l’assemblage des structures, l’installation des réseaux électriques et le gardiennage.

VALOREM constate qu’à l’issue de ces chantiers, près de la moitié des personnes concernées ont retrouvé un emploi stable. C’est ainsi qu’en 2020, les pouvoirs publics ont reconnu l’engagement de VALOREM et l’ont nommée « entreprise leader pour l’inclusion ».

Le projet de Bessens Energies pourrait remplir ces objectifs, à l’instar du parc photovoltaïque de Montbartier où 4 personnes sur 5 en insertion sur le chantier sont toujours en poste, 6 mois après leur mission.

<b>Compatibilité du projet avec la ZNIEFF</b>

Compatibilité du projet avec la ZNIEFF

Le site de l’aérodrome de Bessens se situe au sein de la ZNIEFF dite « Friches et landes de Lapeyrière ». Une ZNIEFF (Zones Naturelles d’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique) n’a « pas de portée juridique direct et ne constitue pas en tant que tel un instrument de protection réglementaire des espaces naturels » cf DREAL Occitanie. Il s’agit d’un outil d’information scientifique sur la faune et flore des sites et des enjeux à prendre en compte lors des études sur les impacts de projets. Ainsi, l’inventaire de la ZNIEFF et les études environnementales sur site démontrent qu’un parc photovoltaïque n’est pas incompatible avec cet espace. D’autant plus s’il se situe déjà sur un site déjà anthropisé comme un aérodrome et qu’il ne prendrait que 11,7 ha sur 167 ha de la ZNIEFF.

Sur les 8 espèces faune et flore déterminantes de la ZNIEFF, 4 espèces de flore ont été relevées sur le site d’étude.

Seulement le Sérapias en cœur présente un enjeu de conservation notable. D’après la fiche de la ZNIEFF : « Pour l’ensemble des espèces contactées, la fermeture et l’évolution systématique vers les fourrés à prunelliers et les boisements de chênes seront une cause de raréfaction » Ainsi le maintien du milieu ouvert grâce à l’exploitation d’un parc photovoltaïque sera pleinement bénéfique pour les orchidées.

Orchidée Sérapias en Coeur

Les études lancées durant une saison par VALOREM ont permis de situer très précisément des stations de Sérapias en cœur :

L’implantation prévue par le projet permet de les éviter totalement :

De plus, les suivis écologiques qui seront réalisés durant toute la phase d’exploitation du parc permettront de confirmer le bon maintien des habitats et espèces à caractère patrimonial. Nous veillerons même, autant que possible, à favoriser le développement de cette espèce durant les 30 années d’exploitation minimales de la centrale.

Nous pouvons relever par ailleurs que le Busard St Martin, espèce remarquable et rapace protégée par la loi française n’a pas été observé sur le site lors des études environnementales. En effet : « Une fermeture des zones de friches et des landes entrainera l’abandon du site par l’espèce ». Les zones boisées ne sont pas attractives pour le rapace. L’ouverture et le maintien du milieu ouvert pourrait même favoriser son retour.

Busard Saint Martin

> Le développement d’un parc photovoltaïque n’a pas d’effets négatifs sur la faune et flore remarquables de la ZNIEFF, il pourrait même permettre de limiter la raréfaction de ces espèces.


<b>Découvrez les visuels de simulation du parc</b>

Découvrez les visuels de simulation du parc

L’étude d’impact comporte des photomontages pour évaluer l’impact paysager du projet à l’échelle éloignée et immédiate :

Le projet est invisible depuis les habitations.

La première maison se situe à au moins 300m du projet et une forte masse boisée permet d’éviter toutes perception sur le parc.

<b>Le choix de l’implantation du parc solaire</b>

Le choix de l’implantation du parc solaire

Un projet à faible impact pour l’environnement et le paysage

L’analyse de l’état initial du site par un bureau d’étude externe a permis de déterminer une implantation en limitant l’impact sur l’environnement et le paysage.

  • Prise en compte des enjeux environnementaux

  • Prise en compte des enjeux paysagers
  • Prise en compte des espaces sensibles dans le développement du projet
  • Le choix d’implantation a été revu vis à vis de la zone d’étude initiale et a été réduit de plus de la moitié.
    Cela a permis :

    1. d’éviter les impacts sur les habitats et îlots de biodiversité
    2. de limiter les perceptions du parc photovoltaïque et faciliter son intégration paysagère
    3. de prendre en compte les chemins de randonnée ainsi que les fossés

    Avec ces différentes mesures d’évitement, le projet final tiendra sur une surface de 11,7 hectares clôturés (initialement 17 hectares) pour une puissance installée de 9 MWc, et pour une production d’électricité correspondant à la consommation électrique de près de 2 590 foyers (tous usages confondus). Soit un projet représentant 1,3% du territoire de Bessens.

    A titre de comparaison, sans évitement des différents enjeux, nous aurions pu avoir un projet de 18 MWc :

    <b>De quels matériaux les panneaux photovoltaïques sont-ils composés ?</b>

    De quels matériaux les panneaux photovoltaïques sont-ils composés ?

    Tout se recycle dans un parc photovoltaïque.

    Un panneau se compose de :

    • Verre
    • Sable
    • Plastique
    • Métaux (aluminium, argent, cuivre…) dont l’acier (structures, clôture)
    • Bâtiment
    • Béton
    • Câbles
    • Carte électronique

    Il n’existe aucun risque de pollution lié à la production d’énergie verte depuis une centrale photovoltaïque. Un article du site internet (« La fin de vie des parcs photovoltaïques. 100% réversible ») précise les conditions de démantèlement des centrales.

    Tous les éléments constitutifs d’une centrale photovoltaïque sont inertes et ne peuvent créer d’impact sur l’environnement. Chaque élément dispose de sa propre filière de traitement (recyclage majoritairement ou enfouissement).


    <b>Solaire : le vrai/faux pour y voir plus clair</b>

    Solaire : le vrai/faux pour y voir plus clair

    <b>Les engagements de VALOREM</b>

    Les engagements de VALOREM

    DES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES POUR LE TERRITOIRE
    Ce projet de parc photovoltaïque apportera à la commune des retombées fiscales sur toute la durée d’exploitation. Il sera également possible pour la municipalité de recevoir des loyers pour la location de son foncier suite à notre proposition. Par ailleurs, l’ensemble des collectivités concernées s’est vu proposer la possibilité d’entrer au capital du projet par le Groupe VALOREM.

    SOLLICITER LES ENTREPRISES LOCALES
    VALOREM s’engage à travailler avec des entreprises locales pour la réalisation du projet (VRD, génie civil, raccordement, gardiennage…)

    ENCOURAGER L’ÉPARGNE CITOYENNE
    Leader du financement participatif depuis 2011, VALOREM offre la possibilité aux citoyens de financer les projets du groupe pour bénéficier des richesses générées localement. A ce jour, plus de 4 500 prêteurs nous on fait confiance.

    Fort de cette communauté engagée, VALOREM a lancé en mars 2021 le premier portail de financement participatif dédié à ses projets : monparcvalorem.com

    FAVORISER LE RETOUR À L’EMPLOI
    VALOREM réserve au minimum 7% des heures de travail à des personnes éloignées de l’emploi sur ses chantiers photovoltaïques depuis 2017.

    <b>Les études sur le milieu humain et paysager<b/>

    Les études sur le milieu humain et paysager

    Les études sur le milieu humain, physique (paysage, usage des terrains) et naturel (faune, flore et habitats) sont nécessaires pour valider la faisabilité du projet et définir l’implantation la plus adaptée au site. Réalisées par des bureaux d’études indépendants, elles dressent l’état initial du site, en évaluent les enjeux environnementaux, les contraintes réglementaires, techniques et d’usage.


    PRÉSERVER LA BIODIVERSITÉ

    Une véritable démarche de préservation de la biodiversité a été mise en place, avec notamment :

    • La conservation des habitats favorables aux Sérapias en coeur (orchidée)

    • Le maintien de milieux de type «friche basses», attractifs pour le rapace Busard Saint Martin

    • L’ajout de mailles larges au sein de la clôture pour permettre la circulation du petit gibier

    • Une mesure de maintien de 6ha boisés mise en place durant toute la durée d’exploitation


    Les perceptions du parc seront quant à elle très limitées grâce aux nombreux boisements. Des haies champêtres et arbustives seront intégrées par ailleurs autour du parc pour renforcer davantage son intégration paysagère. Des panneaux pédagogiques seront également installés pour favoriser l’appropriation locale du projet.

    Busard Saint Martin
    Sérapias en coeur